Je survis au cancer du sein.

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Pour commencer, qu’est-ce que le cancer du sein ?

Le cancer du sein est une tumeur qui se développe au niveau de la glande mammaire. C’est l’un des plus fréquent chez la femme. Il y a environ une femme sur huit touchée au cours de sa vie. En France, environs 160000 décèdent du cancer du sein.

 

Aujourd’hui, grâce à des dépistages et des traitements, les trois quarts des cancers du sein sont bien traités. 

Nous avons donc pue faire témoigné une une enseignante du lycée Bréquigny. (voulant rester anonyme.)

Pour cette enseignante cela était difficile à accepter malgré qu’elle soit en très bonne santé et que suite à une mammographie elle a appris qu’elle avait un cancer sans avoir aucune douleur, ni signe.

Elle a du partir pour un long parcours hospitalier qui la rendu malade.

Ses soin l’on entrainer à un mal  être physique et moral.

 

 

 

 

 

 

 

du côté médical:

Suite à une information de la mutuelle sur le dépistage du cancer conseillé à partir de 50 ans, elle prend rendez-vous pour une mammographie le 28 février 2006. Le radiologue complète cet examen par une échographie et qu’il lui annonce qu’il  y a une suspicion de tumeur au sein gauche.

Elle ne réalise pas dès le premier instant. Le médecin la garde 1 heure et lui donne un numéro de téléphone à appeler de façon urgente avec un code chiffré à donner pour une priorité d’examen à la clinique de St Grégoire.

En rentrant chez elle, c’est l’effondrement, elle est anéantie et réalise alors qu’elle a un cancer. Mais un coup de sonnette la sauve, son voisin, chirurgien au CHU la « prend en main » et lui obtient un rendez-vous au centre Eugène Marquis, service sénologie, pour le lendemain, le 1er mars.

Huit jours après, c’est la biopsie, examen douloureux et traumatisant. Les médecins lui ont interdit de rentrer seule, ainsi que les transports. Son amis venait donc la chercher à l’hôpital.

Ensuite, on lui a conseillé aussi d’être accompagpour avoir les résultat de la biopsie, elle sollicite toujours la même amie.Et c’est le 15 mars, le couperet tombe. On lui a annoncé que sa tumeur était cancéreuse. Elle  a donc pris rendez-vous chez le médecin anesthésie.

Le 21 mars, des examens ont été programmés: électrocardiogramme, prise de sang, injection pour la lympho-scintigraphie, scientifique.

L’intervention a lieu le 22 mars, on l’a rassure en lui disant qu’à priori, il n’y aurait pas de Mastectomie ( La Mastectomie est l’ablation chirurgicale du sein, le plus souvent réalisée après un cancer du sein.)

Mais simplement une tumorectomie (La Tumorectomie est l’ablation chirurgicale d’une tumeur en préservant les tissus voisins.) et que elle le serait au réveil. A la sortie de l’intervention, elle avait le torse bandé, une infirmière passe rapidement lui dire que seuls la tumeur et des ganglions ont été enlevés. C’était une très bonne nouvelle!    

Le 5 avril, rendez-vous à Eugène Marquis pour définir le protocole des  soins (des traitements). Et le 24 avril, scanner et simulation du traitement de la radiothérapie. (Radiothérapie est un traitement du cancer par des rayons qui détruisent les cellules cancéreuses ou stoppent leur développement.)

Le 9 avril, elle débute ses 34 séances de radiothérapie. Elle s’y rendait tous les jours sauf le Samedi et le Dimanche. Et après 12 séances, elle a du voir le radiothérapeute (spécialiste) en urgence car sa peau était brulée.

On lui propose donc d’arrêter la radiothérapie le temps que sa peau se répare.

C’est le 31 mai et 22 juin, qu’elle avaient ses dernière séances !

Le côté psychologique:

Pendant cette période, elle sait sentie super entourée par ses amis et en est reconnaissante. Entre l’annonce de son cancer et le début de la radiothérapie, elle est beaucoup sortie et organisé des apéros et dîner dans sa maison, sans doute pour pouvoir profiter de la vie! Elle a aussi rédiger un testament…

Elle n’a pas voulu « cacher » son cancer, mais la chose difficile a été quand même à l’annoncer à ses parents… Le lycée a été très compréhensif sur le nombre d’absence pour les différents examens.

Malgré tout, les 2 mois de traitement était très difficile à gérer. Elle était dans un état de fatigue. Elle n’avait plus aucune notion du temps. Et dormais la plupart du temps.

Le personnel médical montrait une bienveillance exemplaire, elle ce sentait plus en confiance. Elle sait aperçu aussi qu’elle a fait un tri dans ses relation.  pour elle, c’est difficile d’accompagnée une personne cancéreuse.

Certains, la majorité ont trouvé les mots et l’attitude adéquats ( » Si la force de mes pensées pouvait t’aider, tu serais déjà guérie »). D’autres étaient tellement maladroits que je ne tenais plus à les voir.

Elle était tout de même contente d’avoir terminé sa radiothérapie avant les congés d’été. Il était prévu un voyage à l’Ouest des État-Unis et, bien évidemment, elle n’y pensait plus à y aller. Mais ses amis lui avaient « obligés » et ont eu raison! Même si la fatigue était toujours présente, ce voyage lui avait fait un énorme bien.

Aujourd’hui, elle a un traitement par hormonothérapie et une mammographie et échographie tout les 6 mois pendant 3 ans.

Et aujourd’hui, quelles sont les suites?

Aujourd’hui, tout va pour le mieux pour cette enseignante! La seule angoisse est l’examen sénologique qu’elle doit faire tous les ans. La pandémie lui a permis de l’éviter…ce qui n’est pas bien du tout!

Manon, Khadijat